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29 décembre 2009

El círculo negro. Historia de la Sociedad secreta que dirigía al PRI.


Antonio Velasco Piña
Punto de lectura, 2009
Un anciano llama al escritor y le pide que le escuche puesto que desea contarle la historia del círculo negro, con la condición de que no divulgue su verdadero nombre. De esta manera, comienza el relato acerca del círculo negro, sociedad secreta y permanente de asesores que daban directivas a seguir a los Presidentes mexicanos durante más de 70 años.
Esta historia nos describe la creación de este denominado círculo negro, descubrimos la existencia de una constitución de tipo monárquico que regía entre los Presidentes electos del PRI y los 6 miembros de este círculo, miembros que solamente se conocian entre ellos pero que ni los mismos Presidentes conocían, negociaban solamente con uno de ellos, Fidel Velázquez, líder casi centenario del CTM.
A través todos los Presidentes desde López Mateos hasta Ernesto Zedillo este libro nos proporciona una síntesis de la vida política mexicana en el siglo XX, una descripción de los principales factores reales del poder. Y puede ayudarnos a comprender la hegemonía del Partido Revolucionario Institucional, PRI lo que llevo a decir a Vargas Llosa que en México no había dictadura pero sí « dictablanda ».
El autor es conocido sobre todo por su novela Regina, la cual ubica en 1968 y relata la sangrienta matanza de estudiantes del 2 de octubre en Tlatelolco, libro controvertido por su aspecto místico.

Le cercle noir (pas encore traduit en français)

Un vieil homme appelle l’écrivain et lui demande de l’écouter car il souhaite lui raconter l’histoire du cercle noir, une société secrète et permanente qui a donné la voie à suivre aux Présidents mexicains pendant plus de 70 ans, il lui raconterai cette histoire à une seule condition, il faut qu’il respecte son anonymat.
Le livre nous décrit le dit cercle noir, nous découvrons l’existence d’une deuxième constitution de style monarchique laquelle était la loi entre les Présidents mexicains et les 6 membres du cercle noir, membres que même les Présidents ne connaissaient pas car ils traitent seulement avec un d’eux, Fidel Velázquez, leader presque centenaire de la Confédération de Travailleurs du Mexique, CTM.
A travers tous les Présidents depuis López Mateos jusqu’à Ernesto Zedillo cet livre nous fait une synthèse de la vie politique mexicaine au XX siècle, ainsi qu’une description des principaux facteurs réels du pouvoir. Le livre peut nous aider à avoir une meilleure compréhension sur l’hégémonie du Parti Révolutionnaire Institutionnel, PRI, ce qui a amené à Vargas Llosa à dire que au Mexique il n’avait pas de dictature mais une « dictamolle ».
L’auteur est connu surtout par son roman Regina, lequel est le récit de la tuerie des étudiants mexicains à Tlatelolco, le 2 octobre 1968, livre controversé par son caractère mystique.

15 décembre 2009

L'homme sans tête

Sergio González Rodríguez

Préface d’Antonio Dominguez Leiva, traduction d’Isabelle Gugnon

Résumé de l'éditeur :
Employant les techniques littéraires chères à Capote (De sang froid), Ellroy (Ma part d’ombre) ou encore Saviano (Gomorra), techniques de la non-fiction novel entre roman, enquête journaliste et essai (voir Des os dans le désert), avec L’Homme sans tête Sergio González Rodríguez analyse le phénomène de la décapitation à partir de la découverte de plus en plus fréquente au Mexique de corps sans tête ou de têtes tranchées exposées à la vue de tous en signe d’avertissement. Enquête insolite et tissu narratif aux multiples résonnances culturelles et politiques, L’Homme sans tête dénonce l’apogée de la violence de notre monde contemporain par le geste le plus atroce, le plus symbolique qui soit : la décapitation. Des décapitations par les trafiquants de drogue au Mexique aux décapitations par les fondamentalistes musulmans largement diffusées sur internet, d’Orient en Occident, l’acte de décollation représente le geste suprême de l’atrocité : la perte de raison dans son sens extrême. L’auteur étudie aussi les phénomènes actuels de sorcellerie et de sacrifices humains utilisés par les narcotrafiquants, les nouvelles expressions de l’intimidation et de la peur, l’usage des corps des victimes comme messages d’une cruauté sans limites à l’adresse des adversaires. Et l’émergence de cultes criminels comme celui de la Sainte-Mort. Un récit sans fiction dans lequel se mêlent témoignages de sicaires coupeurs de têtes modernes, enquête journalistique, essai - dont les références vont de Georges Bataille à Sam Peckinpah, de la littérature à la photo - et des éléments autobiographiques qui, conjointement, font apparaître l’horreur et la terreur dans lequel le monde d’aujourd’hui s’enfonce. L’Homme sans tête démontre une fois encore que la matière journalistique peut atteindre le statut de l’étude historique et sociologique, de la littérature d’exception.

Une chronique à écouter sur France Culture :
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/jeux_epreuves/fiche.php?diffusion_id=79091

Journaliste mexicain, Sergio Gonzalez a consacré un précédent ouvrage aux meurtres de Ciudad Juarez.