Editorial Porrua, 2008
Reseña :
En Pan de muerto, un texto que obtuviera el Premio Nacional en 1991 en su versión teatral, y que ahora se presenta enriquecido en su versión narrativa para esta coección, Ana María Vázquez explora el deseo y la fascinación del ser humano ante la muerte. Una situación fuera de lo común es la que nos relata la autora, donde a través del singular encuentro de dos personajes, un maquillista de muertos con extrañas pasiones y una difunta demasiado viva, se recrea de manera erótica y burlesca la actitud festiva y de veneración del mexicano frente a la muerte, así como el machismo que se esconde detrás de esta concepción, donde la muerte es mujer...
Pan de muerto est à l'origine une œuvre de théatre.
Source.
Un petit mot sur le pan de muerto qui est la pâtisserie traditionnelle que les mexicains dégustent à l'occasion du Día de muertos, la fête des morts. Il s'agit d'une brioche confectionnée spécialement pour cette date et qui est porteuse d'une symbolique remontant aux civilisations précolombiennes.
La boule du sommet représente le crane. La brioche est parfumée à la fleur d'oranger en hommage aux défunts, la forme circulaire représente le cycle de la vie et la mort, quatre épis figurent les os et les larmes versées pour ceux qui nous ont quitté, disposés en forme de croix et représentant les directions de l'univers et les quatre points cardinaux chacun dédié à un dieu, Quetzalcóatl, Xipetotec, Tlaloc et Tezcatlipoca.
Lire une histoire détaillée du pan de muerto sur le site Terra (en espagnol).
PhH