Pedro Angel Palou
Editorial Planeta, México, 2009
Escritor mexicano nacido en la ciudad de Puebla, es miembro de la generación del crack (junto con Padilla y Volpi)
Esta novela, histórica y actual describe las relaciones entre la Iglesia Católica y los régimenes fascistas de Italia y Alemania en el periodo de entre las dos guerra mundiales y sus repercusiones en el mundo de hoy. Todo empieza con el asesinato de un sacerdote jesuita en Roma, quien trabajaba en los archivos secretos del Vaticano buscando información para la posible canonización del Papa Pío XII. A partir de este primer asesinato, varios crímenes se suceden, por lo que el Padre Gonzaga, experto investigador jesuita es llamado para elucidarlos. Gonzaga decide pedir la ayuda de una amiga, médica forense israelí para realizar las investigaciones. A medida que avanzan, se dan cuenta que todo está relacionado con los Papas Pío XI y Pío XII. El Papa Pío XI, Achille Ratti, fue Papa desde 1922 hasta 1939, es el Papa que reconoció al Estado Italiano de Mussolini en cambio del reconocimiento del Estado independiente del Vaticano (Tratado de Letrán entre Pío XI, el rey Victor Manuel III y Benito Mussolini). Pío XI llegó a decir con respecto a Mussolini que “era el hombre enviado por la providencia”. Firmó también tratados con la Alemania nazi de 1933. (criticado en su época hasta por personas de su mismo campo, tanto que hasta el cardenal alemán Faulhaber lo llamó “el mejor amigo de los nazis”).
La novela trata acerca de las relaciones del Vaticano con los regímenes de Mussolini y de Hitler, del enriquecimiento del balbuceante Estado Vaticano, de las dudas del Papa Pío XI acerca de la exterminación de los ancianos, de los enfermos mentales y de los judíos. De las encíclicas pronunciadas, como la encíclica Mit brennender Sorge (Con ardiente preocupación), en la que se manifestaba una ligera preocupación contra el régimen nazi, y de la última encíclica del Papa Pío XI que nunca pudo pronunciar puesto que murió dos días antes (¿envenenado?) y que fue descubierta hasta 2001, en la cual condenaba vigorosamente este régimen. ¿Por qué no se pronunció esta encíclica? ¿Qué intereses se movieron en el Vaticano para que no se diera a conocer en esta época? ¿Realmente existió? La Orden Negra, el Mossad, los jesuitas todos quieren ¿o no? conocer la verdad.
El Dinero del Diablo fue novela finalista del Premio Iberoaméricano de Narrativa “Planeta-CasaAmérica 2009”.
L’argent du diable
Pero Angel Palou est un écrivain mexicain né à Puebla, il est membre de la génération du crack, avec Padilla et Volpi.
Cette nouvelle, historique et contemporaine, décrit les relations entre l’église catholique et les régimes fascistes d’Allemagne et d’Italie entre les deux guerres mondiales, et leurs répercussions dans le monde d’aujourd’hui. Tout commence par l’assassinat d’un prêtre jésuite à Rome, qui travaillait dans les archives secrètes du Vatican, à la recherche d’informations pour la possible canonisation du pape Pie XII. Après ce premier meurtre, plusieurs crimes se succèdent. Le père Gonzaga, un jésuite expert en enquêtes est appelé pour les élucider. Il se fait aider par une amie, médecin israélien. Au fur et à mesure de la progression de l’enquête, il découvre que tout tourne autour des papes Pie XI et Pie XII. Pie Xi, Achille Rati, a été pape de 1922 à 1939. C’est lui qui signa les accords de Latran avec le roi Victor-Emmanuel III et Benito Mussolini, traité par lequel le Vatican reconnait l’état italien du Duce, lequel reconnait le Vatican comme état souverain. Pie XI ira jusqu’à dire que Mussolini fut « envoyé par la providence ». Il signa aussi des accords avec l’Allemagne nazie de 1933. Il était déjà critiqué à l’époque par des personnes de son entourage et de son bord, le cardinal allemand Faulhaber le nomma « meilleur ami des nazis ». En plus des relations entre le Vatican et les régimes fasciste et nazi, la nouvelle parle de l’enrichissement du jeune état pontifical, des interrogations de Pie XI au sujet de l’élimination des vieux, des malades mentaux et des juifs. Il est également question de certaines encycliques comme l’encyclique Mit brennender Sorge, « avec une immense inquiétude », dans laquelle il manifeste quelques doutes sur le régime nazi, et de la dernière encyclique que le pape n’a pas pu prononcer car il mourut quelques jours avant – empoisonné ? – et ne fut découverte qu’en 2001et dans laquelle il condamnait sévèrement ce régime. Pourquoi cette encyclique ne fut-elle pas dévoilée ? Quels intérêts poussèrent le Vatican à ne pas la révéler à l’époque ? A-t-elle seulement jamais existée ? L’ordre noir, le mossad, la compagnie de Jésus voulaient-ils tous connaître – ou pas – la vérité ?
« L’argent du diable » fut finaliste du prix Iberoamericano de nouvelles « Planeta Casa América 2009.
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