titre original : Tequila sunset
traduction de Mireille Vignol
éditions Belfonfd-noir, juin 2013
Présentation de l'éditeur :
À Ciudad Juárez, les crimes se suivent mais ne se ressemblent pas... Après Les Disparues de Juárez, Sam Hawken nous entraine dans une oppressante et terrifiante plongée en apnée dans l'enfer des gangs de la frontière mexicaine. Corruption, meurtres et trafics en tout genre, une enquête sur le fil du rasoir, une terrifiante plongée dans l'enfer des gangs de la frontière américano-mexicaine.
À peine sorti de prison, Flip Morales est contacté par le chef du redoutable gang des Aztecas pour une délicate mission : transporter des « marchandises » entre la ville texane d'El Paso et sa jumelle mexicaine Ciudad Juárez. Alors que Flip s'était promis de rester clean pour la belle Graciela, le voici contraint de replonger... Pour Cristina Salas, pas facile d'assumer une vie de mère célibataire et un job d'officier de police. Depuis que les Aztecas ont fait d'El Paso leur nouveau terrain de jeu, la jeune femme est sur le pied de guerre. Mais qui aura le cran de briser la loi du silence ? Et si l'agent fédéral mexicain Matías Segura, le monsieur anti-criminalité de Juárez, pouvait l'aider à mettre fin au carnage ?
Alors que s'organise une vaste opération de nettoyage des deux côtés de la frontière, la vie de trois personnes s'apprête à basculer...
L’auteur :
Né au Texas, Sam Hawken a fait de nombreux séjours au Mexique, jusqu'à ce que la région devienne infréquentable en 2006, avec le début de la guerre du narcotrafic. Très marqué par l'histoire de ces centaines de femmes disparues dans l'État du Chihuahua, il s'est longuement documenté pour écrire son premier roman, Les Disparues de Juárez (2012), finaliste en Angleterre du prestigieux « New Blood » Dagger Award. Guet-apens est son deuxième roman à paraître chez Belfond. Il vit à Washington avec son épouse et leur fils.
Voila un nouveau livre avec Ciudad Juárez en toile de fond, avec guerre entre bandes criminelles, trafics divers et le tout qui gravite autour de la frontière mexicano-étasunienne. Cette frontière que ceux du nord voudraient infranchissable, est en fait, pour ceux du sud un véritable aimant. Depuis les années 1950 elle est le lieu de passage de toute la contrebande entre les deux pays, le sens des flux variant avec la nature des trafics.
Une nouvelle fois, l’illustration utilisée est une calavera, motif décidément très à la mode ces derniers temps, mode qui perdure puisque lancée par un anglais en 1601, revigorée par Jose Guadalupe Posada et maintenant par les graphistes modernes mexicains.
Calavera inglesa
Voir aussi : calaveras
PhH
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